SIGNAL LUX : C'est fini !
Rien n'y a fait
La direction italienne du groupe n'a rien lâché : ils mettent la clé sous la porte.
Après les "wagons" successifs licenciés en 2007 et 2009, le "solde" des 44 salariés se retrouve maintenant lui aussi livré à son triste sort et c'est encore un pas vers la desertification industrielle de la Vallée qui s'est fait sur l'autel du "gagner toujours plus", du libéralisme sauvage, motivé par les politiques de droite qui prônent et encouragent le libéralisme, malgré des déclarations d'intentions faites pendant la crise et jamais suivie d'effet par nos dirigeants, Nicolas Sarkozy en tête.
Nous étions quelques camarades de la section PS de Sélestat, venus soutenir les derniers salariés mercredi après-midi sous la pluie.
Les délégués syndicaux de l'entreprise